Louve de rivière.
Ne fût qu’un instant sur la pâleur de tes joues me posait en fleur de lotus. Qu’un vain moment vint effacer le temps et sa sournoise signature … Sur mes lèvres aumônière la somme de pourquoi de ces jours, flibustier, des liens ensablés de mon bustier engorgé de promesse, dégrafer le corsage des saisons, ô ! Morne corolle jusqu’à la déraison devrais-je faire deuil de la beauté des roses et jusqu’au dernier calice boire l’ivresse de ma peine … D’un reflet éclaté de rosée je crus apercevoir mon teint jeune et frais, rosace pourpre à sa source, immigrée de rêve. Sous l’ombrelle feutrée de mes pas déshabillés, mes pointes dorure de lune sur un lac gelé, Isis m’aurait-elle conviée à son bal en secret ?
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