Ma bohème, ma caresse.
Les fagots de mon cœur romancier du dimanche, l’oiseau sur la branche s’égaie merle siffleur. Enivré d’insolence, la prunelle vagabonde. Ma bohème Chimène à la robe légère, fringale d’un quartier latin. Un coulé de tendresse ricochet de hennés de caresses chiffonnées d’un chignon chiffonnier. ô ! Toi ma môme à la joue fraîche aux larmes infidèles immortels edelweiss, l’échine courbée, l’épaule plate où glissent bruine éparse mes sanglots indolores.
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