Mont Chair-bourre.
C’est le lâcher du poignet, s’envolent les papillons blancs tachetés d’un soupçon de fèces, le bric-à-brac des hirondelles. Elles batifolent les fesses de fil en aiguille, de jarretière en montgolfière, mon goal fière, la main au panier, Cherbourg en compte à rebours, c’est l’heure de pointe du tramway de la baleine … Chapeau melon, jupon et petits tétons s’emmêlent dans les parapluies, un rouge, un noir, dans le crachin et les pépins s’accolent, ça colle comme des rustines. Quelques talonnettes à scandale égarées sur les marches, la rampe est trop glissante, le pouce et annulaire dans les barbelés de cheveux défaits. Nul ne s’en inquiète c’est les petits doigts de fées des grands couturiers du trottoir, les mirettes sur les gambettes.
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