Ophélie.
Ophélie, une lettre fugue aube de ta prunelle, et ce rêve réverbère traînard … Un vol d’oies sauvages, vacillent tes cils … Un rimmel feuillage d’âge quand le marin la barre haute goûte au naufrage de tes paupières. Á touche-touche de ta peau s’entrebâille un chandail bleu marine. Se perd l’azur aumône du lac des cygnes au fin fond de tes yeux. La grue cendrée dédicace, muette, ses battements d’ailes silencieuses prélude d’un va-nu-pieds, portée sur la bise des flibustiers ton bustier corsage cendré, effeuillage d’une enfant sage. Grandiose goéland la grand-voile et la misère du grand large étend son drap blanc.
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