Pop-up !
Comme la larme abandonnée qui s’éteint, tu es ce riverain et dans ta main mon sein béni arc-en-ciel d’un chemin et quand tu me déshabilles le malheur est en haillons devant le bonheur court-vêtu et la lune orpheline caresse ma peau lagon du bienvenu.
La poésie c’est le livre de la vie.
Retour aux articles de la catégorie Á l'ancre de mes maux ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres