Prélude.
Le cœur en bac à larmes, la migraine du temps effeuille mes pensées, la dépouille de mes sentiments à même le sol, plainte d’une âme embryonnaire. La nausée d’automne, je questionne des choses qui peut être n’existent pas, mes mots de tête, mes maux de conscience … Il y a trop de : et moi et moi dans un sans émoi … Patrimoine d’un être, patrie, moine sans espoir, être lamentable, allongée sur une plage, ma muse me bouffant la cervelle, les entrailles à ventre ouvert …
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