Doucereuse …
J’écoute le silence, c’est long l’absence du bruit … Mes yeux papillonnent, révolutionnaires de mon monde. Je ne sais plus faire l’amour au jour, courtisane noctambule, je caresse, somnambule, la courbe de mes rêves. Chimérique terre d’un autre moi, des nymphes épousent mon corps. Vertige de mon être, mon âme se dérobe amoureuse d’un autre temps. Des images déambulent, belles comme des anges, sauvages comme l’adolescence, les mages d’une nouvelle existence pleureuse comme un adieu. J’hurle à Dieu ma dernière volonté de n’être que femme enveloppée de poèmes et d’une mélopée bohème.
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