Prélude de nuit.
Garde tes ailes grandes ouvertes la liberté y construira son nuit. Rampent mes songes, les misérables, mendiants de minuit. La belle délaisse le clochard sur la rampe laiteuse du firmament. La lune théâtrale ciselée d’étoiles redore les pensées diurnes, l’angélus raisonne écho d’un cœur, s’abandonne une âme et s’estompent à l’aurore les anges d’or.
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