Requiem d’alphabet.
Un poème naît sans civilité, no excuse ! Á la fois nu est pudique comme le premier cri d’un nouveau né ensuite il se pare de rage et de beauté, vous enivre puis s’écroule dans son verbe asséché, pauvre gueux ! De rimes il s’inonde, la verve en ébriété, les vers assoiffés de richesse de papier, il s’époumone à vos pieds et à grandes enjambées vous fait rêver sur une page écervelée.
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