Roulotte.
Les yeux fuyants, cheveux au vent, l’ivresse d’un chemin claquant sur les lattes d’un banc. Vole une écharpe roulis d’un tourment, s’enfuient les baisers au goût de caramel, il y a du blues dans cette histoire, il y a des larmes filles de trottoir, du Carmen et son désespoir … Une chanson de Brel dans sa mémoire, ne quitte pas … Des perles du temps j’en ferai mon aumône pendue à ton cou, diamant de saison posé sur tes lèvres, serment de mendiant gisant sur ta peau. Virevoltent les feuilles mortes, amants de Vérone en cette rue d’automne s’aimer avant que le temps ne nous désagrège … L’amour est un gitan.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres