Si je t’ai tant aimé …
Tout l’amour que je t’ai donné je ne puis le reprendre en un adieu. Et somnole un ange dans cette alcôve nacrée. Et pour l’amour d’une rue balayer la larme d’un bâillement d’ailes. Mélomane inachevé les battements de ton cœur. Et ce peintre tout là-bas… Gavroche d’un trottoir, à la larme dépenaillée guet d’une prunelle. Á ce téton de vie oublié sevrage d’un infini voyage un vol d’oies sauvages. L’alpage du receveur égoïste rêveur, d’un déshabillé de cœur m’appauvrir jusqu’à la sentence de la dernière lueur.
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