Soliste.
C’est dans le doute d’un horizon que l’on ressent le grand frisson, naufragé clandestin. Sans tenir une main, sans la caresse d’un maquillage sur les yeux, sans des battements de cœur bouffon, sans les rides de l’habitude comme une traînée sur le bitume, sans le temps et ses sillons, gueule d’argent sur un jardin militant. Sans la rose écarlate aux effluves sans écluse, l’archet n’a plus de nom quand les violions s’en vont, étui miteux, les mythes eux dans leur brasier dansent fringants chevaliers.
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