Larmes de vie …
Comme des entrailles fugitives, laisser sombrer son patrimoine, fuguer sous un voile où mille violons raisonnent l’anarchie d’un garde fou … Fouler d’un pas égaré la terre ferme, sentinelle d’un chemin pourpre où s’entremêlent une orpheline éphémère gardienne du temps perdu et un acrobate valseur espiègle naufrager de secondes bohémiennes. S’accouder au comptoir de la vie et regarder défiler passif le spectre de l’existence et contempler sereine l’effigie de maux qui s’engouffrent dans le caniveau de mes mots. Respect au mélomane des cieux qui joue son air philanthrope comme une berceuse dédiée au dormeur du val.
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