Souhait noctambule …
De mon cœur alourdi, de ces cris fatidiques, reliques désobéissantes, ne reste qu’un oubli. Du ciel gris de ma lie, des larmes de mes nuits passées à scruter un moment propice pour conquérir l’envie ne subsiste qu’un écrit sur le parvis de ma vie. De toutes ces niaiseries, crime anodin de soupirs qui respirent, s’enfuient vers un paradis, des rimes appauvries. De mon imagination s’estompe un souvenir maudit. Je veux bénir d’un sourire des instants de plaisir, maudire pour quelques heures un écrin de douleurs. Vivre à présent sans heurt, le respect de mon indignation, aigreur humaine de n’être qu’un simple être. Simplette caricature d’une femme mi-immature, semi-bohémienne qui gît à demi spectre dans son monde indécis. D’un revers de manche essuyer le vomi de rêves incompris, assise sur le mépris d’autrui, je m’affirme aujourd’hui !
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