Tant et tant …
Glisse la feuille voile de septembre, mon petit orgueil porte son deuil. Tremblent mes doigts effeuillés de fièvre, tendre chandelle à la ménopause de mes lèvres la rosée éternelle nurse de la rose solennelle. Tant s’effeuille le givre de larmes nouvelles chandelier à ma prunelle. Que nulle ivresse ne s’endorme requiem.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres