Nymphe danseuse de lune.
Les seins à demi déshabillés sur la plage nue, le cœur emmitouflé d’un rêve, un râle, passiflore, je rêve … Mes larmes défuntes, voltiges de veuve et mes vers paressent langoureux et bouffons de verve. Et mes rimes voleuses d’âme me font la cour, à mi voilée ma muse me crie misère s’agenouillant en givre et sur la blondeur du sable chaud coule sa fièvre, escarcelle de jouvence où le bonheur éclot. Désordonnée dans mes gestes mais à ses courbes je reste fidèle et volète papillon de papier soudoyant ses attraits. Ne me reste plus qu’un baiser sur sa joue pâle comme un évadé fusillé.
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