Un soupçon d’indolence …
Un mouvement incolore colore une euphonie sourde. Le rideau de chair se lève insonore, une chaire de romanichels apparaît comme un accord miséricordieux ! D’un décor aphone où s’empressent des pas muets, des bouches angéliques aux lèvres silencieuses s’ouvrent, le chant du temps se dessine, des ténèbres funambules indécis griment les grimaces d’un paradis épris d’un claquement de vie qui ose donner la parole à une folie au son maudit. Venue d’un apôtre et vœu nu d’une femme vêtue d’un journal usé aux pages chiffonnées et désuètes. Usurières d’heures et de minutes s’apprêtent au prêt de la dernière échéance.
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