Un tout petit rien, hoquet.
Ce n’est rien qu’un petit rien,
un tout petit rien de loquet,
le coche coquet,
la charmille ok.
Le sable se meurt,
honneur à la dame,
quand au frais cancan
s’enrôle la douleur,
requiem avant sonneur,
le givre dormeur
s’allègue rêveur,
french cancans.
Le temps à bâbord,
prière à bord de lèvres,
je fuguerai
paupières au vent.
Bise de communiante,
bouché bée,
bise claudiquant,
glisser sur la pente,
clopin-clopant,
servante je m’enivrerai …
À la porte du temps
là où la nuit ferme ses yeux,
grimoire d’enjambées,
mon trottoir te regarde.
Cahin-caha
un frisson de galet,
brise-larmes,
la gourmande,
la grande baie,
pochoir de fièvre,
à la main la chandelle des cieux,
écrit à la main le dernier matin.
Tribord,
la galette des rois,
au fond du bois
la beauté d’une hors la loi,
fusain du bout du cœur
s’en va s’en vient l’ancien.
On ne rattrape pas le temps passé … Mais le temps s’évapore et se pérennise gouttes de rosée perlant sur les matins d’été.
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