La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Apocalypse …

 

 

Embrase de rideau tombant, sculptant un sourire innocent, un accent de poésie, une caresse à l’infini, s’enfuient tambour battant, quelques rimes aux abois. Mon cœur à l’étrier, valse mon ami sur le grand écran de la vie. Danse, moi je connais bien ce chemin qui envoûte, qui retient sous sa voûte éternelle. Un petit coquin s ‘en faire de bruit s’agrippe dans le lointain à la tenture de mes cheveux, se meurent d’ennui mes racines en otage, les enfants blancs de ce petit hameau rêveur surnommé le temps. Le gris bleu de mes yeux, mélange de femme mûre, de femme sage se voile, s’offrant à toi comme un ciel d’été, des parapluies fraudeurs  de pluie, mes iris d’Osiris… Un rêve bleui parsemé de gris, paupières de mes années, le grand bateau des sentiments s’échoue comme une épave amoureuse au creux de mon âme.

 

 



28/12/2012
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