La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Au large de mes pensées ...

 

Le soleil était donneur, une légère brise parcourait ma peau, l’âme au vent et corsage défait, je m’étais assoupie au seuil d’un couvent. Nul temps ne brise mon cœur aux quatre vents, que déferlent tempêtes, mon âme est auvent  de mes soupirs. Sous la marquise de mes rêves, j’écoute les clapotis d’une si petite chose …

Ô ! Toi mon cœur …

 




13/07/2013
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