Au large de mes pensées ...
Le soleil était donneur, une légère brise parcourait ma peau, l’âme au vent et corsage défait, je m’étais assoupie au seuil d’un couvent. Nul temps ne brise mon cœur aux quatre vents, que déferlent tempêtes, mon âme est auvent de mes soupirs. Sous la marquise de mes rêves, j’écoute les clapotis d’une si petite chose …
Ô ! Toi mon cœur …
Retour aux articles de la catégorie Le puits de ma conscience. -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres