Blette, lettre des portes de ma conscience.
L’art, légendaire, est incroyance, la parole d’un silence blet.
Ma sensibilité est une caresse qui ensevelit ma conscience.
Un flot de pleurs inonde mon âme d’artiste.
Mes mots se noient dans l’indifférence du poète mort.
De mes silences blets naissent les paroles de la parabole de mon cœur d’or.
Mes maux sont en apnée ils partent se reposer vers d’autres contrées.
Mon cœur n’est pas à prendre il est à apprivoiser.
Je ne peux m’éparpiller mon cœur n’est pas à rapiécer.
Mon cœur est seulement malade il doit être soigné mais pas abusé.
Il souffre de phrases sourdes qu’on lui a infligées.
Celles qui ne s’entendent pas.
Celles qui sont trop vues …
Celles qui vous déchirent à petits pas.
Ces mots qui vous lacèrent si fort qu’ils vous font fermer les yeux.
J’avais fait tant d’efforts, pour si peu !
Des écrits parmi tant d’autres,
un au rebus,
qu’importe !
Mille poèmes vous tendent las bras …
Des textes que j’offre de bon cœur
peu importe leur teneur
du moment qu’ils ont bonne odeur.
Vos cœurs trompeurs n’apprécient pas leur saveur
comme un vœu
mon cœur blet part en vacance.
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