Blues trottoir …
Et toi là-bas ma gosse sur ce trottoir … Ma traîne, ma bohème, larme infidèle tu m’entraînes ma légionnaire … Demoiselle à la prunelle légère, vogue vénitienne aux pleurs de jouvencelle. Ma pucelle tu vagabondes de rêve en train, femme légère … Quand s’arrêtent tes wagons aux sanglots longs reste accroché aux quatre saisons le célibat de vieux jupons. Des bas de laine ma Fanchon, un veston contait fleurette, chiffon de fleur à la boutonnière, reflet de Mistinguett en bandoulière, c’était hier. Une migraine d’hirondelle … Dis ma jouvencelle ! Et si on se faisait la belle ? Allez viens va ma môme, ma Madelon … Ne dis mot, notre malle est de carton.
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