Bruit d’océan …
Quai des brumes, tu te déshabilles ma brune, tel est ton voyage bruine, concerto du firmament au crescendo. Le pas des agneaux, le silence indic cœur imberbe, bouche bée, la vie glisse sur les plaies, enfant abandonné. Il n’y eut qu’un nid dans ta prunelle l’astre bleu de ses yeux. Le reflet d’une hirondelle sous l’aine d’un faubourg où les jours ont su garder ce vagabond du fond de ton cœur. La passerelle, mouchoir d’adieu flottant au vent, embruns de larmes, les maux d’amour drapeau blanc, une main et son foulard de solitude …
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