Coeur d'une vie.
Et les digues du temps sont la sauvageonne de tes printemps. La vie est couleur au vent et non mendiante de souffle et sous son aube blanche je suis une illettrée quand ma prose se dérobe. Si dans ton cœur subsiste l’envie, cette envie de grandir, tu feras de la pluie, des clapotis de vie.
De l’obédience d’un baiser effleurer notre amour échoué.
Parce qu’un poète est fragile comme l’enfant qui vient de naître, il vous offre un baiser sur le bord d’une lèvre, une caresse du bout des doigts, un je t’aime clandestin dans la paume de la main. Et si sa plume se fait comtesse dans sa main elle n’est que conteuse d’un seul chemin.
L’invitation est simpliste mais ma main est saine et ma table conviviale.
Á cet instant précis mon blog est en impression libre jusqu’à la fin de l’année.
Imprimez ce qu’il vous plaît ! Offrez mes textes du plus richissime au mendiant assis sur le bord d’un trottoir.
Faites de mes feuilles de vignes, de mes feuilles d’automne, une unique saison.
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