Eh BB !
Le grand vent a gercé tes lèvres, jolie poupée de porcelaine. Sur la grève endormie, le charme du sable encore tiède caresse granuleuse sur ta peau te fait frémir un peu … Le lagon et le bleu de tes yeux s’entremêlent, un cri sauvage abandonné à marée basse. Ton cœur tape, un raz de marée dégrafant ton corsage, il conte les vagues, la paume d’une main brûlure indienne entre tes deux seins. La gestapo du temps qui passe … Les passants de l’océan, la dérive du goéland, les maux de Maupassant, boule de suif la mer et ses reflets.
Hey baby ! La solitude ce mal de reins, on se sent chien.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 24 autres membres