Faïence de jardin.
Cueillir la rose, lui ôter ses épines et n’en garder que la sève comme une source vive. Et à la claire fontaine, laver sa peine et s’en aller quérir l’aubépine et sa trêve comme une fleur de porcelaine aux pétales de verre et n’en recueillir que des jours en raccourci comme un morceau de pain du temps.
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