Fugitive.
Je sèche mon cœur, soubrette sans jupon ma bohème étendue au fil à linge du temps dentelle d’acacia. Sous le vent d’autan au drap blanc de mon souffle une aquarelle de pucelle, je m’aime jouvencelle. Mes caresses rebelles apprivoisées dans la paume de ma main, dès l’aurore, là au bout de mes doigts la tendresse d’une hirondelle et je laisse glisser Chimène et ses querelles.
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