Hache-écorce ...
Ô mon cœur !
Quand on me dit tu fumes trop …
Je réponds regarde ma vie,
l’intimité au galop !
Chut je dors encore …
Je rêve à l’aurore
d’un rêve infini.
Ma main caresse l’oreiller
cherchant la nuit d’un cœur à accords.
Dans les volutes de ma fumée
se dessine mon âme affamée.
La main potelée de mon enfance
égérie de potence,
m’ouvre la porte d’un mirador.
Potelet de conscience
où mes souffrances
d’enfant de silence
s’endorment papier jauni
d’une chambrée inhabitée,
l’interdit d’un inédit,
violon au trémolo,
mes haut-le-cœur.
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