La grand-voile …
Et ce vieux garçon de célibat le cœur au trépas … On s’accommode de petites choses, l’amour moineau dans la paume d’une main. Un tramway s’en va, tout là-bas troglodyte je sanglote et la misère à bout de bras, du petit doigt tremblent nos draps, la fièvre fait semblant … Synopsie de vieux amants, le mouchoir d’Hélène tombée de feuilles mortes, quand sournois l’automne rouille nos prunelles. Une lettre à Élise, les pleurs de Venise, me viennent chandelle les valses de Vienne et valse l’airelle jolie pucelle cambrée chambrant la campagne. Champagne et cotonnade une gosse apprivoisée, le parler des fleurs, des délices de broussailles … Se détachent solfège les agrafes d’un corset, mes hanches fut corbeille d’un fruit à l’abandon. De baies et de dentelle frissonne la belle quand rouit le chanvre le marin mendiant. Enivrer le grand mât, le roulis de la proue, un jupon à marée basse quand ose la femme la courbature du grand vent.
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