La rosée du matin.
J’ai égaré ma roulotte dans une contrée bohème. Mon cœur est sans harnais, un piolet et l’éternité … Je me sens comme un nourrisson à sa première tétée. Tes larmes sont martinet dans mon mirador laminé. Chapelet de noces égrenant le temps, filin de perles jonchant les aurores, collier de pétales étiolant la fleur et s ‘abandonne la madone sur le sentier de tes yeux, une étrangère sur tes paupières ruisselant l’éther mais si tu me tiens bien la main je te conterais demain.
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