Prisme.
Ne fut qu’éphémère la dentelle de rose. S’effeuille son reflet, parchemin défeuillé. Je n’ose effleurer l’aube épine où se meurt l’aubépine … Que sont devenues nos matines sous l’aurore effeuillée d’un feuillet d’amour ? En ce matin aux feuilles mortes je feuillette l’abrégé d’un poème, la prose automnale d’un soleil couchant, taches d’encre sur le papier, se couche. Rougeoient des éclats de cœur quand larmoie le crépuscule à la pesée des mots, feuillure.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres