La tour de veille.
Toutes ces musiques d'un métronome,
ce métro môme.
Une menthe à l'eau
et une petite déprime d'une culotte courte.
Tu sais tu es ma trisomie ...
Vivre en couleurs une canne à l’appui.
Je voyage beaucoup dans mes rêves et l'oiseau est beau,
les oies sauvages et l'hirondelle sont mon berceau.
S’emprisonne le jardin d'Éden...
Je me prénomme Hélène,
ils auraient dû m'appeler fragile,
fragile comme leur amour.
Tout là-bas à contre jour ;
ce que disent nos vieux mariés,
les amoureux de mes vingt ans le médisent.
Á trop en vouloir,
un bout de trottoir,
gitane à corps perdu
et le matelot riait.
Je ne veux pas voir mourir la vierge au seuil d'une prière aprise,
encore une rue,
un dessin animé,
écueil de mes cernes mes p'tits seins inanimés.
Tous les diamants sont des mendiants,
aux assises des bans blancs
tous les astres sont des amants vaincus alors pourquoi peindre ce nu ?
Moi, tu sais... Mon coeur est une île,
destinée en avant toute.
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