L’archange du soleil.
L’aube épine t’égratigne, l’aubépine te chagrine. La lèvre tendre écolière dans le vacarme de la vie, tu te penches fillette au-dessus de la rivière. Ta larme à l’eau de la petite tendresse, l’au-delà où se meurt l’airelle, dernière caresse. Á l’arraché d’un rêve, petite perle de ta prunelle s’enivre comédienne l’immortelle, l'edelweiss et ses rets d’argent.
Une mère c'est le goutte-à-goutte de la vie se glissant dans les faux plis d'un pouls.
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