Le même chemin ...
Ma petite graine de chemins, de ce tout petit rien tu entraînes ma main. Tes pas bohémiens seront les miens. Trois épis de blé, mon oiselet, un cœur, un corselet, mes heures ciselées de ta prunelle dorée. L’automne déploie ses ailes orangées flibustier de nos promenades estivales mais il existe un val où la vie n’en finit pas de fleurir … Là dans la paume de ta main, grand-mère a perdu son loup, au bout de tes lèvres le lever d’un jour qui n’en finit pas de blondir.
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