Le qu’en-dira-t-on...
Le pénitent de novembre flirte en amazone... Écuyer esseulé, onule sa valse blanche au pas roturier. Va-nu-pieds du bout des doigts les lignes de sa main autiste, il eût pourtant un coeur dans une autre demeure partie de poker où triche la vie précieuse d'un trottoir. Clapet 1 : Frôle le temps ! Au vent somnolent des tempêtes anciennes s'enrôle la tôle, taule. Persiennes vénitiennes courbattues sous l'autan, il ressent l'angoisse du mendiant. Clapet 2 : Et cette pièce de vie ! Là Où se cache le clown fugitif. Une prière balbutiée d'une paupière, poussière enjouée à la sauvageonne. Jouir de la rivière cadenassée sans ne plus savoir ouïr le mumure de l'eau. La solde du rêveur, remorqueur le temps au pompon blanc et pont tremblant. Clapet 3 : Sa vie tourne à l'arsenic, candide bile, un petit brin de vie à la bringue tenancière, les idéaux du petit Paris. Adiéou Baraca.
Poétesse,
esseulée...
Libertaire ;
je voudrais faire chialer la France littéraire !
Je voudrais connaître les feux de la rampe
et non les maux d'une rampe.
ô ! Mon ami pierrot
se meurt ma chandelle
je rejoins ton hameau
aux sanglots de mes mots.
L'important c'est ma prose...
Oh oui ! Crois-moi la rose !
L'emmerdant c'est qu'ose se plaider ma cause.
ô ! Mon ami pierrot
se meurt un hameau
je rejoins ta chandelle
aux sanglots de nos mots.
L'emmerdant c'est ma prose...
Oh oui ! Crois-moi la rose !
L'important c'est dénigrer ma cause.
Liesse liassée,
ô ! Pauvre gosse
délacée,
de ta parole ne fut mie,
tes rangs ;
pain de mie.
Libertine fût ma mire
angoisse où je me mire,
vestige de Mitterrand.
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