Les gamins de la rue …
Le talent ne se démontre pas par erreur, il respire annonce du cœur, brûlure de prunelle.
Quand vacille le phrasé de ma prose, marge de verre, se soustraient mes vers, maux des yeux.
Quand tournoie mon jupon, valse du verbe aimer, se prostitue le pas de danse blessé de mes hanches, mots des yeux.
Et quand l’artiste dans un bar, d’un trait noir égaye le bord d’un trottoir, il s’accouche enfant de la balle.
Mon soutien aux artistes de rue qui ont pour tout horizon le mal des yeux.
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