Marbrures givrées …
Te caresser d’un rebord de temps, muette. T’embrasser de ces lèvres de guinguette. De mots de doigts à gestes d’amour passent ces deux enfants hébétés. Un lange au vent, deux gosses à la prunelle aguerrie … Un déshabillé au pied d’un rosier ma mue de jouvencelle, mes escarpins, nos baisers maudits de printemps effeuillés … Et cette robe blanche balancelle marionnettiste où marionnettes d’un bout de cœur se bercent de vieux amants sous le fouet d’un voile blanc colombe aux ailes éternelles.
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