Paname fringale de macadam.
Et ta main dans la mienne, jolie bohémienne, ton adieu bohémien attendrit ma bohème ... J’attendrai l’incertain au cœur de marin, un été de porcelaine immigré sur mes lèvres sans rôle. Ne me reste qu’épais manteau le givre de l’hiver, effeuiller sa longue traîne de ma fièvre émigrée au pas emboîté. Ivresse comédienne, la proue et la grand'voil aux gestes du grand vent nous rejouent l’orpheline. La Traviata de nos draps poussière tout là-bas … Et s’enrôle gitan un lange libertin.
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