Presque.
Je vois ta main caressant les saisons puis le frisson de la dernière aube. Tombent les feuilles mortes, feuilleton. Ton vieux jean rapiécé, mon corsage dégrafé, le silence des anneaux. La vie sauvageonne griffonne. Des galets dans mon mouchoir et cet au-revoir un sursis de regard. Á deux mains à demain je reviens sur mes pas, orpheline d'un sentier. Un rêve collégien, usufruit, rainbow les reflets de tes yeux sur ma peau. Une larme agrafée au cortège de l'été, parapher d'un regret nos solstices oubliés. Elle écrit des mots pâles, Ma Bohème ; des maux d'elle et j'erre fantôme d'ailes… Ces chiens qui passent, mon ange, reflets de métro. Je me souviens de mon cartable amant des graines de mon enfance et mon temps n'a plus le temps, lointain visage. Un vieux thème canular d'un quartier ce petit pistolet noir planqué dans ta commode.
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