Quand se meurt le printemps ...
Que ferais-je d'une rose pâle sans l'éclat de ses pétales ... Que ferais-je d'un jardin sans fleur ? Que ferais-je d'un étal sans rêve ... Le langage des fleurs caresse encore un peu ma peau … Mon cœur dépossédé a égaré ses poignées, offrez-lui des poignets d’amour, des embrassades jusqu’à l’infini ! Au-delà des yeux, au-delà des cieux, le parfum des roses est une aube éclose où boutons, jeunes roses et roses défuntes dansent une valse à trois temps. Épineuses danseuses immatures les roses blanches faucheuses d’été, cendres d’amour en mon âme incendiée me donnent la fringale des plaisirs d’automne où les roses endormies lèguent leur sève aux feuilles mortes.
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