Rafale.
Sur le mouvement de tes lèvres, j’écris des poèmes de détresse. Sur ta peau s’échappent mes vers. Mêmes si mes rimes sont à l’envers, mes rives sont palais de tendresse. Je t’apprendrai l’ivresse du verbe aimer, mosaïque d’été. L’envol d’un oisillon éternel horizon n’est que faiblesse de saison dans un nid sans passion. Mes songes se font autistes quand de mes gestes je perds la raison. Quand de ma verve renaît ton prénom, nous caresse la mousson. Quand de mon verbe s’écrie ton nom, mes cieux deviennent géhenne et dans tes yeux la damnation, je me dessine éphémère limbe d’une nymphe. Moi tu sais je suis artiste j’aime en intermittence.
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