Rosée givrée.
Une pincée de sel sur ma peau dégrafée, un murmure de corsage mes cheveux blancs, tombée à l’aurore cendrée de la larme d’un couchant. Et tous ces bateaux échoués au port de mes yeux, debout sur la jetée tu me regardes à faire chialer la beauté du cœur de la blonde en sursis, à en faire frémir la palissade des cieux tremplin à la dérive et coule l’hydromel … Le cœur hybride, demi-lyre, à demi lutte, quand les feuilles mortes mâtinent la rose épouse des hélianthes enneigés.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres