Sans violence.
Douleur au grand cœur,
tu me meurs, petite lueur.
Tu me tiens en laisse
canicule du dernier orgasme.
Plus de matin juste un écrin,
un jardin de silence
où une bouche aphone
plaide l’innocence.
Une feuille de dessin
au grain ancien,
un portrait au fusain
d’un petit musicien
qui joue au vaurien.
La main d’un magicien
où murmure un échos,
poème étrangleur,
rimes sans valeur
où s’étranglent mes valeureux mots.
Où es-tu val heureux ?
Folle sueur où s’emprisonne la frénésie,
instant de vie, me vouer à ta panoplie je ne puis.
J’aimerais tant me sentir mieux qu’aujourd’hui.
Retour aux articles de la catégorie Ma petite vie ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres