Sur le banc des années ...
J’entends battre mon cœur,
ambulant et innocent,
dérive d’un tourment,
évidente douleur
d’inépuisable songeur,
échéancier de pleurs.
J’entends battre son cœur,
farceur et coureur,
dépravé de rancœur,
impunément moqueur,
inébranlable charmeur,
traumatisme du cœur
digne d’un roman.
J’entends battre nos deux cœurs,
rêveurs et blagueurs,
indéniable douceur,
jouant tous deux
au gendarme et au voleur,
un indolent bonheur,
impudents voyeurs
d’une innocente pudeur,
frondeurs et bagarreurs
et nous voilà tous deux
irrésistibles merdeux
et le cœur heureux.
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