Un secret de bécot …
J’ai le cœur grenadine dans tes bras m’enlaçant brancardier azuréen d’un amour menthe à l’eau. Et résonne qu’en mon cœur qui se chiffonne ton sommeil indécent voyageur. Au trépas de minuit quand la fatigue te déloge du murmure de mes grains de beauté, je voudrais être une page blanche, effacer la trame du temps. Mais me voilà buvard, gourmande de l’encre de tes yeux. Alors de ta canne blanche je soulève tes paupières et d’un rêve bleu j’habille ta prunelle. Ressens-tu la brise légère caressant ma peau, gonflant mon corset à moitié défait par le bout de tes doigts … Á présent assoupi … Mais soudain s’éveille à nouveau la succion de tes lèvres et se blottissent nos quatre mots de vie sur nos bouches chuchoteuses. Je t’aime … Moi non, + encore.
* Quand des chansons m’interpellent, je les picote mais c’est pour le beau de l’amour qui se bécote.
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