La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Une raillerie de chemin …

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Sur le quai d’une gare, une larme à la main, un bagage sur un quai  signature de bohème, et au petit matin, les lèvres collégienne, me retrouver entre nos draps, tango argentin.

 

Une rose, rêve en pause, et  laisser fleurir dans sa mémoire un souvenir caressant la joue de la vie, et laisser naître un sourire, sur une une bouche entrebâiller le désir.   La vie n’est autre qu’une chaire où la pièce de théâtre la plus éloquente et celle du destin, quatre lignes de main et naquit un chemin, un petit trois fois rien jonché de peines assoupies, et d’un rire alangui réécrire une brindille de vie. Et laisser se mourir les soupirs comme un assassin,  sous la mitraille  au fond d’un ravin de cœur, un vieux croûton de pain. Des accords sous un parapluie, arpèges d’ennui, un soupçon de souffle à l’arrachée d’une vie, harpiste de minuit d’un regard rêveur et voleur s’éveille l’amnésie.  Une main repue  et s’endort la veille de la vie, intermittente, en alternance la souffrance et l'absence, une main tendue et frémit un chagrin.

 

La vie ça se chante a cappella parfois … Alors par foi on dit tant pis !

 

 

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09/07/2014
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