Va-nu-pieds.
Et l’herbe tremblante berceuse d'une inquiétude viendra mourir dentelle de novembre. Et cette tasse de café hébétée silencieuse où valse l’airelle. Vacille le temps des cerises, du bout des doigts fichu blanc. La caresse d’un été indien, châle frêle au petit matin, retient sa main, la félicité d’un ciel vaurien. Au pas vénitien l’ombrelle de ses chagrins.
Rachel Désir
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