Charme vénitien.
S’étouffe le temps au souffle de soldat, ta main tendre tendue voile blanche. Le vent d’autan resté à quai, s’essouffle la souffrance d’une robe blanche. Un petit coin de paradis d’un brin de nostalgie et flirte la vie sous le temps à la dérive. J’imagine les heures cruelles au comptoir de la vie, j’image ce cortège de larmes d’un soufflet de prunelle. Ô ! Douce dentellière sous ton corsage de lavandière se tortille un petit bout de sein … Un cœur automne à la main, où t’en vas-tu filandière, fille de rivière.
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