Vacarme.
Que l'amour ne s'éteigne, mon cœur bat encore dans le matin grisant de ses incertitudes. Qu'une chandelle se remémore le blanc de nos draps me fait offense, chaque silence embrasse de rideaux froissés, tombée de l’absence. Que ta bouche soit l'absinthe qu'inoculent tes lèvres d'un baiser sur ma peau. L'ivresse de ta main au creux de mes reins chantant dans leur diocèse. Et s’étoile la robe d’octobre feuilles mortes au tapis capricieux d’un déshabillé où le pourpre rougeoie horizon immobile. Et novembre se débroussaille, des broussailles de décembre et l’été hétéro se morfond demi-veuf. Et voilà l’hiver où s’enfantent les neiges du Kilimandjaro douceur d’un drapé blanc … Les mansardes de la vie où se camouflent des lézards si gris. Puis se lézarde sans bruit le cœur appentis. L’amour en filigrane n’a pour toute gravure que l’amour des sens.
En aveugle, l’espérance à jamais maroufle ma prunelle.
Á petit pas de doigts, touche blanche, dièse.
Á petite note, friandise.
Une larme en chandelle.
Á petit pas d’exquise
tire-braise.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres