Valse noyée.
Sous le vent de mon cœur frissonne une chandelle … Souvenir d’un été où l’amour en rappel longeait l’ivresse de tes caresses. Cordelette tendue mes seins de petite ingénue se cambraient sur la cordillère de mes courbes. De tes mains grand’voile s’agite lointaine l’oriflamme mélancolique de nos sentiers battus. Les heures cendrées s’estompent de la saison des passions. Oublier l’orée de l’aube jouvencelle où la rose trémière à jamais ne se fanait, touche blanche, note morne, un refrain désuet sur un clavier abandonné, le menuet des vieux amants apprivoisés.
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